Lorsqu’au milieu de la 1ère mi-temps du match DHJ – FUS (2 – 2), le défenseur central et pièce maitresse de la formation doukkali, s’est blessé et a demandé son remplacement, personne n’a compris l’acharnement de Shehata et de son staff technique à faire comme si de rien n’était et à continuer à le maintenir en place.

Il a fallu attendre les dernières minutes du match et  un Hissa allongé sur le gazon, incapable de faire un pas de plus, pour voir Shehata daigner enfin à son remplacement.

Du coup, ce joueur qui avait toutes les chances de retrouver sa place parmi ses camarades,  lors du match contre l’OCS, le F US pour le match retour des demi-finales ou le HUSA…a aggravé sa blessure et doit attendre plusieurs matchs aujourd’hui, avant de retrouver sa place parmi ses coéquipiers.

Comment un entraineur d’une telle expérience, peut-il tomber aussi bas et commettre de telles fautes ?

Comment le médecin du club, au courant  des conséquences d’un tel entêtement de l’entraineur, a-t-il pu garder le silence ?

Pourtant, Flissate, Mahdoufi, Hassnaoui…ne demandaient qu’à prendre part au match. Et s’ils sont si nuls, qu’ils ne valent pas un Hissa clopinant et amoindri, la question qui se pose d’elle-même est : que continuent-ils à faire au sein du club ?

Le préparateur physique n’est pas blanc comme neige dans ce qui se passe au sein du club.  Nos joueurs (professionnels) sont, en effet, incapables de tenir les 90 minutes du match, depuis qu’ils sont amenés à jouer les mercredis et dimanches.

N’est ce pas vrai, que c’est en de tels moments que ce diplômé en…préparation physique devait nous démontrer son savoir faire et la valeur réellle de ses diplômes ?  

Sur quelle base il a été choisi ? Et pourquoi lui et pas un autre…comme Darâoui  ?

Peut-être que des décisions, de qui fait quoi, reviennent-elles en premier lieu aux  « professionnels » qui entourent le club…Moussa, Aboulfaraj… ?

Trop de fautes ont été commises et continuent à l’être. Trop d’argent du contribuable a été dilapidé sans réelles justifications. Il est plus que jamais temps de mettre un terme à ce laisser-aller et à cet amateurisme qui n’a pas lieu d’être.