فيلم "الأشرار " عمل جديد لنادي الملتقى للسينما
- التفاصيل
- كتب بواسطة: Abdelmajid NEJDI
- المجموعة: Arts & culture
- الزيارات: 15205
انطلاق تصوير فيلم "الأشرار "
للفنان المصطفى بنوقاص
كتابة: الجديدة سات. انفو
بدأ الفنان المصطفى بنوقاص تصوير فيلم جديد بعنوان " الأشرار " داخل إحدى الفيلات الخاصة٬ والذي يعود من خلاله للسينما بعد فيلمه الأخير ""ريحانة " " الذي عرض بعدة قاعات من بينها مسرح محمد سعيد عفيفي بالجديدة٬ والذي لقي استحسانا كبيرا من طرف الجمهور و المتتبعين.
و"الأشرار " من بطولة كوكبة كبيرة من النجوم من بينها عبد الكبير حزيران ومحمد لقلع وسعاد الوزاني "دواحة زوجة احديدان "٬وعدد من الممثلين المحليين على رأسهم محمد الرباني و عبد الصادق اعبادة و نور الدين الشهبي و إيمان حفري و أحمد تميم و خديجة النهري و بوشعيب فضليي وسعيد أميان وعدد من المواهب المحلية. فيلم "الأشرار " من إنتاج نادي الملتقى للسينما بالجديدة٬ تأليف وسيناريو وحوار وإخراج الفنان المصطفى بنوقاص.
El Jadida : 2ème édition du Salon régional de l’artisanat de Sebt Saïss
- التفاصيل
- كتب بواسطة: Abdelmajid NEJDI
- المجموعة: Arts & culture
- الزيارات: 18054
L’étoffe «kharqua Saïssiya»
sous les feux des projecteurs
Par : Hadj Abdelmajid Nejdi
La commune rurale de Zaouiet Sebt Saïss a abrité, entre les 15 et 17 avril 2016, la 2ème édition du Salon régional de l’artisanat avec la participation d’une quarantaine d’exposants. Les organisateurs ont choisi «La kharqua Saïssiya au service du développement local» comme thème de cette manifestation initiée par la Chambre d’Artisanat de Casablanca-Settat, en partenariat avec la Direction Provinciale de l’Artisanat d’El Jadida et la commune rurale de Zaouiet Sebt Saïss.
Le jeune Marocain Yassine Jebli épate le jury de The Voice 4 sur TF1
- التفاصيل
- كتب بواسطة: Hadj Abdelmajid Nejdi
- المجموعة: Arts & culture
- الزيارات: 14788
Yassine Jebli, graine de star, porte haut les
couleurs du Maroc sur la chaine française TF1
Le samedi 17 janvier 2015, lors de la deuxième session des auditions à l’aveugle de The Voice 4 de la chaine française TF1, le jeune Marocain Yassine Jebli a subjugué les coachs et le public.
Le passage de Yassine Jebli, connu sous le nom artistique « Yann'sine », dans « The Voice 4» sur la chaine française TF1, le samedi 17 janvier 2015, a marqué les esprits. Ce fils de pêcheur, âgé de 20 ans et natif de Tan-Tan, a réinventé le tube d’Indila, « Dernière Danse », pour une prestation qui a séduit les coachs, ce samedi, lors de la deuxième session des auditions à l'aveugle. Il n’aura fallu que quelques secondes à Zazie, Jenifer, Mika et Florent Pagny, les quatre membres du jury, pour appuyer sur leurs fameux boutons rouges et découvrir la tête d’ange de Yann’Sine. Ainsi, son enthousiasme, sa voix et son énergie ont plu aux quatre membres du jury. Et, si Florent Pagny ne se lâche pas toujours niveau compliments, cette fois, il a salué la voix du jeune chanteur et son talent, y voyant même du génie. En plus, tout le monde a été unanime que cette graine de star est l’une des belles découvertes de cette deuxième session d'auditions à l'aveugle. Et, il est déjà l'un des grands favoris du public car son morceau de « Dernière Danse » a colle parfaitement à son univers musical. Yann'Sine n'est pas prêt de se faire éclipser !
Qui est ce jeune prodige ?
Yassine Jebli (Yann'sine) est né à Tan-Tan et a grandi dans un petit village appelé Tan-Tan Plage. Son père est négociant en poissons. Il lui a transmis sa passion de la nature et de la mer. Yann'sine a suivi toute sa scolarité jusqu’au lycée à Tan-Tan plage. Sa passion première, c’est le dessin tout en écoutant de la musique. En 2013, ses parents, ses frères et sœurs l’ont entendu chanter et l’ont encouragé à se produire sur scène en s’inscrivant à Studio 2M.
Voici par ailleurs la vidéo de « The Voice 4 » :
https://www.youtube.com/watch?v=fk6sfqhjo8w
De Mazagão Velho la Brésilienne à Mazagan la Marocaine : un documentaire pour jeter les ponts d’amitié
- التفاصيل
- كتب بواسطة: Abdelmajid NEJDI
- المجموعة: Arts & culture
- الزيارات: 14100
Écrit par : Ahmed Chahid
Tout récemment, une délégation Brésilienne composée de résidents de Mazagão Velho dans le conté d’Amapa, du réalisateur Canadien Gavin Andrews, du producteur et de l'ambassadeur du Brésil à Rabat, José Humberto de Brito Cruz, ont effectué une visite à El Jadida et plus précisément à la Cité Portugaise, en vue des repérages nécessaires avant le lancement des premiers tours de manivelles d’un documentaire inédit qui jette un peu plus de lumière sur les aléas de cette ancienne et triste histoire qui, tout en coûtant la vie à nombreux de Moujahidines Marocains, n’a pas manqué de provoquer l’un des périples des plus longs et des plus pénibles qui a sévèrement touché plus de deux mille Portugais, ayant quitté dans la précipitation et par voie de mer, la Cité qu’ils occupaient durant plus de deux siècles et demi.
EN MARGE DE LA 3EME EDITION DU FETIVAL INTERNATIONAL DU CINEMA DES DOUKKALA : DES FESTIVALS ? OUI, MAIS POUR QUELLE FINALITÉ ?
- التفاصيل
- المجموعة: Arts & culture
- الزيارات: 9155
La ville d’El Jadida vient d’assister à l’organisation de la 3ème édition des Journées Cinématographiques « Internationales » des doukkala, du 24 au 27 octobre. Un festival qui a donc duré quatre jours, mais sans, à aucun moment, apporter à la ville, l’animation et le divertissement tant escomptés.
3ème édition dans une ville sans le moindre cinéma. 3ème édition d’un festival dont la 1ère n’a pas eu lieu…tout en étant comptée…prestige et « crédibilité » obligent.
Des conférences, des débats et des projections qui se sont déroulés presque en catimini et pour lesquels l’accès a été si sélectif et si fermé que l’on devait se pincer pour se convaincre qu’on est bel et bien dans des espaces, dits d’échange et de culture. Et pour quelle finalité, si les mêmes « têtes d’affiche » continuent à se rencontrer, un peu partout, pour se raconter encore et encore la même rengaine ?
Un rendez-vous qui devait constituer l’occasion idoine pour assister, à des discussions et échanges enrichissants, d’accoucher d’idées éclairées et éclairantes, tout en soulignant si possible, l’ouverture des esprits et la lucidité des analyses, devant caractériser animateurs et participants.
Comment peut-on user, pour ne pas dire abuser, et sans vergogne, de l’argent du contribuable, sans apporter cette animation et ce petit plus, à même de faire oublier aux habitants, la grisaille de leur train-train quotidien ?
Comment ne pas profiter de l’occasion offerte, pour essayer de donner un coup de pouce au 7ème art et à la culture en général, dans la région des Doukkala et un peu partout dans le pays ?
Sinon, les citoyens auront l’impression de financer des festivals fantômes !!! Car àqui s’adressent ces rencontres et ces projections ?
Et pourquoi chercher à tout prix de cataloguer un tel festival « d’International » ? Une appellation vague. On aurait dit, fourre-tout. Pourvu qu’au final, on impressionne et surtout que les subventions suivent !
A côté du festival du cinéma africain (Khouribga), du cinéma d’auteurs (Rabat), du film de femmes (Salé)… El Jadida avait une carte à jouer, en innovant et en essayant de baliser son propre chemin par une focalisation sur un volet précis.
Une hirondelle n’a jamais fait le printemps et la projection d’un film maghrébin ou deux, ne peut rendre le festival « International » pour autant….Une façon comme une autre de Danser avec les loups, pardon…avec les mots !!!
Si El-Jadida vient s’ajouter, à son tour, à toute cette panoplie des autres villes marocaines qui organisent des festivals de cinéma, sans en posséder une, rappelons au mois qu’il relève du devoir des communes de créer les infrastructures nécessaires à l’épanouissement des citoyens : salles de théâtre, lieux de loisirs, conservatoires de musique, bibliothèques, terrains de sport etc.
La Charte Communale prévoit dans son Article 35 : « Le conseil règle par ses délibérations les affaires de la commune. A cet effet, il décide des mesures à prendre pour assurer le développement économiques, social et culturel de la commune. » C’est ainsi qu’on investit dans l’humain.
Ces infrastructures ne doivent pas être considérées comme un luxe et détournées de leur but principal à savoir, un moyen d’éducation et d’épanouissement tant pour l’enfant que pour l’adulte.
Le ludique est un excellent moyen pédagogique pour la maturité du citoyen, car « on ne nait pas citoyen, on le devient. » Baruch Spinoza
الصفحة 30 من 31