Ils sont venus, ils sont tous là…….

Qui, de ceux qui connaissent les chansons de Charles Aznavour, n’avait pas, en ce jour mémorable du 21 juin 2014, ce refrain dans la tête ?

Oui, ils sont venus, plus de cinq cent anciens élèves. Lors de ce rendez-vous les anciens élèves des établissements scolaires des I948, 1952, 1968, 1972 ont en effet, bien profité pour se remémorer un passé commun et revivre notamment les beaux souvenirs de leur enfance.

Ainsi, tout le monde était heureux puisqu'il s'agit d'un important événement et d'une grande fête de retrouvailles et de partages. Tout simplement à Sidi Bennour, de bons moments de joie et de bonheur vécus cette journée entre les anciens amis et camarades des établissements scolaires primaires et secondaires.

Plusieurs amis leurs ont été, entre temps,  rappelés  à Dieu (Allah yarhamhoum ) mais ils n’ont pas été, pour autant, oubliés : le frère ou le fils était là pour perpétuer l’image du disparu car ils étaient une même famille....

Ces « jeunes » vieux n’ont pas voulu savourer, seuls, la joie de leur rencontre. Ils ont invité et leurs cadets et leurs ainés.

Au fur et à mesure des arrivées, il y avait, dans le réfectoire de l’internat du lycée mixte de Sidi Bennour, une atmosphère des grands jours. Les anciens se rappelaient la cour de l’école de garçons du temps de MM Mitan. Lucien Cra, Ayada Houmada et Abdellaaziz Lahlou anciens directeurs  des écoles primaires, collège et lycée mixte de Sidi Bennour posait sa stature en faisant respecter l’ordre et la discipline ou l’air de la gentillesse des anciens instituteurs et professeurs coopérants d’autres, plus jeunes, revoyaient les responsables des directions parler avec son accent du Midi de la France. 

A la fin de la cérémonie, beaucoup avaient les larmes aux yeux ! Ce sont ces larmes indéfinissables qui vous envahissent dans des circonstances bien particulières ou la joie des retrouvailles se mêle à un sentiment tout aussi indéfinissable lorsque vous appréhendez de vous séparer, de nouveau, d’un ami que vous n’avez pas vu depuis longtemps.

Pour conjurer le sort, ils se sont promis de se revoir, peut être, au grand complet, inchallah.                                     

Chers amis,

En mon nom personnel Abdellatif Najib résidant à Boston New Hamsphir USA,  « message reçu par Email » de n’avoir pas assisté à cette rencontre de retrouvailles et au nom  de tous mes camarades des classes primaire et secondaire des années scolaire 1948, 1952-1962, je vous souhaite, à vous tous, la bienvenue parmi nous et vous remercions d’avoir bien voulu répondre à l’invitation et d’avoir accepté de partager avec nos amis  ces quelques moments de retrouvailles et, disons-le,  de bonheur.Et pour que la fête soit totale, nous avons également pensé aux premiers enseignants qui avaient pris la relève en 1948, 1952 des pionniers, dans leur genre. Rappelez-vous, on les appelait les cracs de l’enseignement. Ils venaient tout juste de sortir de l’adolescence et ils maniaient, déjà, le bâton de craie comme les instituteurs et professeurs français qui avaient quitté le pays !

Que ceux qu’on a oubliés nous pardonnent et encore une fois, nous vous disons « soyez tous les bienvenus » !

Alors, pourquoi, chers amis, sommes- nous réunis, aujourd’hui, à cet endroit qui nous rappelle tant et tant de souvenirs d’enfance? Qui, de nous, ne se rappelle pas du son de la cloche de notre école.

Mais en ce mémorable de 21 juin 2014. Ils se sont presque tous perdus de vue et certains n’avaient plus revisité Sidi Bennour depuis  plus de quarante cinq ans ! De belles retrouvailles, comme celles d’aujourd’hui !

La foire Agricole Régionale de Doukkala- Abda est une des plus grandes manifestations agricole de la région organisée sous l’égide du Ministère d’Agriculture et de la Pêche Maritime, en partenariat avec la Wilaya de la Région Doukkala- Abda,  la Direction Régionale d’Agriculture Doukkala- Abda et la Chambre d’Agriculture de Doukkala- Abda et ce, durant la période du 19 au 22 Juin 2014 à Safi, sous le thème « L’Agriculture solidaire au cœur du plan Maroc Vert».  Cette foire agricole s’apprête à accueillir environ 200 exposants (prestataires, distributeurs, fabricants, importateurs et agriculteurs), ambitionne d'accueillir quelque 300 000 visiteurs et 1 500 cavaliers sur une superficie de 10.000 m² dont une surface d’exposition de 4.000 m²,  au niveau de l’espace Miftah Lkhair de la ville de Safi.Elle se veut avant tout un espace de réflexion sur les potentialités agricoles de la région, les présentations agricoles, les innovations techniques, les rencontres d’affaires, les spectacles et concours, la fantasia, les jeux pour enfants, conférences thématiques, animations.

Un programme riche et varié a été mis au point au profit des professionnels et des visiteurs de la foire. C’est ainsi que des espaces sont réservées à l’exposition du matériel agricole et d’irrigation, des intrants agricoles, des produits agricoles, des produits de terroir et agro-alimentaires, des bétails ainsi que des services. Cette édition connaîtra la participation de 65 coopératives à l’exposition des produits de terroir.  La Direction Régionale de l’Agriculture Doukkala-Abda organisera en collaboration avec ses partenaires des voyages à la foire au profit de 2 000 agriculteurs.

Aussi, d’autres activités seront au rendez vous à savoir les spectacles de la Tbourida et les conférences thématiques se rapportant aux deux thèmes : l’agriculture solidaire et l’approche genre et les nouvelles technologies au service du développement et de la modernisation de l’agriculture.

Parmi les objectifs de la foire :

·      Créer une démarche collaborative entre l’ensemble des acteurs du secteur agricole pour assurer la réussite du plan Maroc Vert au niveau régional ;

·      Constituer un espace de partage et créer une place –forme d’échange et de dialogue des bonnes pratiques et expériences en matière agricole ;

·      Constituer une opportunité pour les fournisseurs du secteur de l’agriculture pour exposer les dernières innovations techniques et technologies ;

·      Promouvoir la région Doukkala-Abda pour améliorer sa visibilité et son attractivité avec tous ses atouts agricoles, culturels et humains.

 

Cette manifestation offre plusieurs opportunités pour la région de Doukkala – Abda, à savoir :

·      Sera une grande occasion offerte à plus de 65 coopératives agricoles pour exposer leurs produits et bénéficier du nombre important des visiteurs ;

·      Occasion pour la promotion et commercialisation des produits du terroir et aussi de faire connaitre aux visiteurs la richesse de la région en ces produits et le programme ambitieux de la Direction Régionale de l’Agriculture pour les sauvegarder et les valoriser;

·      Montrer les hautes potentialités agricoles de la région et sa position stratégique pour attirer les investisseurs, à savoir :

-       Un milieu physique (climat et sols) favorable à une production agricole diversifiée ;

-       Une situation géographique stratégique : proximité de Casablanca, grand pôle économique du Maroc et proximité des infrastructures portuaires et des zones industrielles ;

-       Une importante infrastructure d’irrigation en grande hydraulique (96.000 ha et en irrigation privée (18.000 ha) avec un gisement important en matière d’économie d’eau ;

-       Un savoir faire local en matière de production agricole et élevage ;

-       Une importante infrastructure agro-industrielle pour la valorisation de la production agricoles au niveau des principales filières (betterave, lait, céréales, viandes, câpres, vignes,…) ;

-       Un principal employeur de la population active en milieu rural (63%) avec création de 16 millions de journées de travail ;

-       Un potentiel de terres pouvant faire l’objet d’aménagements fonciers.

-       Montrer l’importance de la contribution de la région à la production nationale et par conséquent à l’économie nationale : Betterave: 38% ; Lait : 22% ; Céréales : 14% ; Câpres :   38% ; Cumin : 20% ; Vigne : 13% ;  Viande rouge: 12% ; les viandes blanches (16%) les œufs (8%) et le maraîchage (8%).

·      Développer l’agriculture régionale à l’aide du partage et d’échange d’expériences et du savoir faire entre les différents partenaires  (agriculteurs, professionnels, industriels, institutionnels,  …)

·      Informer les intéressées sur les opportunités d’investissement offertes par la région, notamment :

-       La valorisation des produits de terroir comme le raisin Doukkali, les figues, les câpres, le cumin, … ;

-       La plantation et la valorisation du cactus inerme, du figuier et de l’olivier réalisés dans le cadre du programme du pilier II ;

-       La transformation du lait : seuls 50% de la production est commercialisée actuellement;

-       La production et la valorisation des viandes rouges et blanches ;

-       La création d’unités de conditionnement des viandes et des produits agricoles ;

-       La construction, équipement et gestion d’abattoirs privés ;

-       La création d’unités d’aliments de bétail ;

-       L’agrégation des produits maraichers et création des unités de stockage et de conditionnement ;

-       L’installation d’unités de fabrication et commercialisation du matériel d’irrigation pour l’économie de l’eau ;

-       L’installation d’unités de fabrication du matériel de pompage solaire pour l’économie de l’énergie dans l’irrigation;

 

·      Promouvoir le secteur de service et de conseil agricole en incitant les intéressés à investir dans ce domaine promoteur et qui connaitra certainement un dynamisme important dans le futur suite à la nouvelle stratégie du MAPM dans le domaine du conseil agricole ;

·      Cette édition, à laquelle prennent part plus de  200 exposants, s'attache à valoriser les attraits et spécificités agricole de la région et de développer de façon pérenne les échanges entre opérateurs locaux, nationaux et pourquoi pas internationaux.

                                                    

 

 Le Centre Touilaât,  Province de Sidi Bennour, abrite du 13 au 15 juin 2014, le Forum Régional de l’Agriculture sous le thème   «Le potentiel agricole au défi de la croissance et de régionalisation ».

 L’objectif  de ce Forum est de mettre en relation les acteurs de développement agricole de la Région ; de développer l’écoute de l’environnement local et régional ; de susciter une ambiance d’affaires et favoriser, par la même occasion, une meilleure connaissance des réalisations et des potentialités agricoles dans le cadre du Plan Maroc Vert et du plan régional agricole de Doukkala Abda.

Le Forum sera un espace d’exposition des produits du Terroir et de mise en valeur de la diversité, la richesse, le progrès et les perspectives de développement au sein de la Province  de Sidi Bennour et de la Région des Doukkala Abda.

Participeront à cette manifestation, qui s’inscrit en droite ligne avec la politique de régionalisation et le Plan Maroc Vert, les autorités locales, l’ORMVAD, les associations locales, ainsi que des producteurs et acteurs institutionnels et locaux de la Région.

 La région Doukkala- Abda compte une superficie agricole utile (SAU) de 1,06 millions d'hectares, un périmètre irrigué 114.650 ha (11% de la SAU) et contribue d'une façon substantielle à la production agricole nationale par 38% au niveau de la Betterave à Sucre, 22 % pour la production laitière, 20% pour le Cumin, 17 % pour les légumineuses, 14 % pour les céréales, 13% pour la vigne et 12% pour la viande.

C.R d’Ouled Hcine : Mauvaise gestion et de dilapidation de deniers publics ?

Le glas sonnera- t- il, enfin, pour une gestion communale cupide ?

Suite à des rapports de la province d’El Jadida adressés à la Direction générale des collectivités locales et à l’inspection générale du ministère de l’Intérieur, le ministre du dit département a dépêché une commission d’inspection qui a atterri lundi à la commune rurale d’Ouled Hcine. En effet, la gestion de cette commune rurale, en ces temps et on ne que l’assez décrié, ici, dans ces mêmes colonnes à plusieurs reprises, est l'objet d'interrogations multiples depuis l’investiture de l’actuel président. Aujourd'hui les langues se délayent pour évoquer, aisément, des affaires de mauvaise gestion et de dilapidation de deniers publics. « Il faut être bouffon ou masochiste, au pire des cas, pour mener sa commune, en un temps record, à un pareil état lamentable», déplore un élu de la majorité passé de l’autre côté. Sur le tas, la situation a empiré. Tous les piliers vitaux d’un patelin bien structuré sont détruits. L’anarchie, le copinage, le favoritisme et les intérêts personnels sont devenus, par la force des choses, monnaie courante dans tous les services.  En un mot, la commune d’Ouled Hcine est au bord du gouffre. Cette situation fort déplorante avait poussé des élus de l’opposition et certains de la majorité à adresser  requête sur requête au ministère de tutelle et aux autorités provinciales d’intervenir pour sauver cette commune de l’emprise folle d’un président « sans scrupules », qui était sans le sou avant son élection président, et d’un fonctionnaire « maestro » réputé par ses manipulations machiavéliques et ses extravagances et qui mène le beau et le mauvais temps au sein de cette collectivité locale transformée en un vivier de saleté, d’immoralité, de débauche et d’anarchie. La commission d’inspection, taxée « de commission de routine » par le fonctionnaire, cerveau des sales manipulations, a entamé, selon certaines sources sûres, le lendemain, son travail d’une manière rigoureuse laissant entrevoir, comme déclaré par le véritable « maître à bord » dans cette commune, qu’elle n’est pas venue pour s’amuser. Les dossiers de plusieurs services- clés sont sérieusement épluchés et des fonctionnaires sont interrogés. Les anomalies seraient criardes, puisque plusieurs dossiers techniques, selon toujours les mêmes auraient été saisis. Les membres de la commission seraient même parvenus, dès le premier jour de leur enquête, que la gestion communale est cavalière et unilatérale. Et on ne peut s’étonner ! Les graves reproches de dilapidation des deniers publics des opposants, que les inspecteurs devraient entendre, sont nombreux. Notamment ses faramineux frais de déplacement et les excessifs frais du carburant et de communication. A cela, ils ajoutent la piètre qualité des travaux de certaines réalisations effectuées malgré leur coût élevé comme c’est le cas de la route reliant Barrakate Hcina à Chlouha et qui est actuellement dans un état défectueux malgré les 320 millions de centimes engagés. Le même problème, avancent les opposants, est entrain de se répéter au centre de Sebt Douib. Le président aurait signé en mars 2011 l’arrêt de l’exploitation d’une carrière sur la route d’Ouled Aïssa. Le cahier des charges prévoyait la réfection de la route détériorée par la société exploitante. Rien de ceci n’a été fait et le comble c’est que la société continue toujours à exploiter cette carrière ! Comment et pourquoi, seuls Dieu, le président de la commune et les responsables de la société le savent ! Les études de projets ne finissent jamais. Seulement, au lieu de lancer des marchés appropriés, il sollicite un cabinet de topographe qui n’est pas habilité pour ce genre de travail. Mais qui le soumet à un bureau d’études spécialisé. Pourquoi ce détour doit- on se demander. Le règlement s’opère l’année par 02 bons de commande de 20 millions de centimes chacun. Faites le total de 5 ans. Ouled Hcine est à bout de souffle, exsangue, martyrisée et taquinée par quelques élus peu scrupuleux allant jusqu’à exploiter, à travers leurs associations, des dons de l’OCP à des fins diaboliques. C’est une commune socialement et politiquement sinistrée avec la dilapidation folle de ses deniers dans des projets- bidon, des réaménagements successifs   et interminables.  L’anarchie qui y règne est indescriptible. Sur un tel terreau en déliquescence avancée, toutes les voix se sont estompées au profit d’une et d’une seule. Celle de l’absurde administratif révélé par une désorganisation et une désarticulation   qui frôlent les limites de la catastrophe rurale hallucinante. Objet de plusieurs plaintes et requêtes auprès de l’intérieur et de la justice, le président n’a été jamais inquiété jusqu’ici. Les autorités locales, en la personne de l’ex- chef de cercle qui en aurait profité énormément et de l’ex- Khalifa du Caïd d’Ouled Hcine, l’avaient « protégé » si bien que le président s’était taxé d’être devant ses opposants et devant une population frustrée d’un président « puissant et intouchable » qui aura beaucoup de mal à masquer son incompétence en matière de gestion, ses extrapolations et ses actes illégaux. L’opinion publique locale est maintenant convaincue qu’il n’est pas aussi puissant qu’il le prétend. Elle est convaincue, maintenant plus que jamais, que le glas a sonné pour ce président qui mène une vie de folie alors qu’il ne possède pas de ressources financières dans sa vie personnelle.  Ni fonction ni activités professionnelles ni biens ! Mais, il y a, toujours, une justice quelque part doit- elle penser maintenant. L’urgence est de redorer le blason de la gestion des deniers publics. Ce blason, qui s’est terni avec le temps. Et le contribuable a besoin de plus de transparence quant à l’utilisation que l’on fait de son argent. L’autorité de tutelle, pour ne pas donner raison à ces responsables qui se déclarent, à qui veut les entendre, qu’ils sont protégés par des responsables influents dans la province d’El Jadida et par le PAM, étiquette politique du président, se doivent de montrer que personne n’est au- dessus de la loi.

                                                                            

 

 

 

Sidi Bennour:Renforcement des capacités des collectivités locales

Cette rencontre vise à appuyer le processus de renforcement de la participation active des présidents des communes de la province  aux niveaux local et régional. Selon les initiateurs du projet, cet atelier constitue l'occasion idoine pour les représentants locaux de discuter de l'intérêt de se constituer en réseau, sachant que la direction générale des collectivités locales au ministère de l’intérieur  a capitalisé une expérience qualifiée de fructueuse au niveau des régions de la préfecture de  Sidi Bennour, dans son allocution d'ouverture et en présence de Allal Sekrouhi, Wali et directeur général du FEC, El Mostapha Draiss, gouverneur de la province de Sidi Bennour, a souligné que cette rencontre de sensibilisation a pour objectif : l'élargissement de la participation des élus  à la gestion de la chose publique; le renforcement des capacités des collectivités territoriales en vue d'améliorer leurs services et leurs missions de développement et la consolidation de la place des responsables des communes dans la gestion locale.

Selon  le gouverneur, cet événement constitue une traduction dans les faits des Hautes Orientations royales visant à donner  aux élus la place qui lui échoit. À commencer par la concrétisation du principe d'égalité et de parité , en passant par la confirmation de ses droits constitutionnels et juridiques et sa qualification en vue de contribuer à la vie politique, économique et sociale..Pour sa part, Allal Serkouhi Wali et directeur général du FEC a déclaré que cet atelier constitue une première initiative dans le cadre d'une série d'activités organisées par son département visant le renforcement des compétences de leadership des  élus locaux. À la lumière des dispositions constitutionnelles de 2011, précise l Wali  est d'unifier leurs efforts, de faciliter la communication  et de renforcer leurs capacités et leur participation pour la mise en place d'une gouvernance locale aux niveaux provincial et régional.

Rappelons que le Fonds d’Equipement Communal (FEC) a été créé par les Pouvoirs Publics au lendemain de l’indépendance en tant qu’Institution financière spécialisée dans le financement des Collectivités Territoriales. Fort de son expérience de 50 ans en matière dans le financement du secteur public local, le FEC a développé une expertise et capitalisé un savoir-faire qui consolident son rôle de partenaire technique et financier des Collectivités Territoriales et des porteurs de projets d’investissement locaux.

 en 1959, le FEC a traversé plusieurs étapes à l’aune des évolutions qu’ont connues les secteurs financier et local. Des étapes d’évolution durant lesquelles le FEC a veillé à améliorer ses services et interventions au profit du secteur public local. 

 Mission

En tant que Banque dotée d’une mission d’utilité collective, le FEC finance le secteur public local et veille au renforcement de l’expertise locale et à la promotion d’investissements locaux porteurs de développement. La Banque offre ainsi à ses clients des produits et services adaptés à leurs besoins et s’attache à leur apporter l’assistance technique nécessaire pour le montage et la mise en œuvre de leurs projets d’équipement.

Le FEC accompagne ainsi ses clients dans l’expression de leurs choix d’investissement et leur offre la possibilité de concrétiser leurs projets qui visent l’amélioration du cadre de vie du Citoyen à travers différentes voies de développement :

  • La mise à niveau urbaine
  • La mobilité urbaine
  • Le désenclavement rural
  • Le développement des zones d’activité économique
  • Le développement des infrastructures sportives et de loisirs
  • L’électrification rurale
  • L’assainissement et l’accès à l’eau potable
  • L’éclairage public
  • L’aménagement des espaces verts
  • La propreté et la protection de l’environnement
  • L’aménagement des équipements touristiques
  • La mise à niveau des établissements scolaires
  • L’animation culturelle et artistique
  • Le développement des équipements marchands
  • L’intégration des technologies de l’information
  • La promotion des technologies propres

Grâce à ses interventions multiples, le FEC concourt activement à la promotion de l’investissement local et au renforcement du processus de décentralisation, confirmant ainsi sa vocation de Banque du Financement Local.