Recueillement au cimetière des Chouhada de l’Adir :

Hommage aux Chouhada fusillés à la prison de l’Adir

Écrit par : Hadj Abdelmajid Nejdi

El Jadida, à l'instar des autres villes du royaume, a célébré dans un climat de patriotisme et de liesse, le 66 ème anniversaire de la révolution du Roi et du peuple.

Cette journée nationale a été commémorée d'une manière particulière à El Jadida. Dans la commune rurale d’El Haouzia, M. Mohammed El Guerrouj, gouverneur de la province d'El Jadida les familles et la délégation l’accompagnant, ainsi que les amis des martyrs du pénitencier de  l’Adir ont tenu à rendre hommage aux Chouhada de la prison de l’Adir.

Rien ne va plus dans le monde

 

du nettoyage à El Jadida

Écrit par : Hadj Abdelmajid Nejdi et Elmostafa Lekhiar

Quelle honte pour El Jadida !

Les images répugnantes de cet article, prise dernièrement, surtout au centre- ville, permettent de constater ce que la ville est très malheureusement en train de redevenir. Les Jdidis espéraient ne plus revoir ça ! Et, Malgré les milliards versés au délégataire chaque année, les rues de la ville se sont transformées en un dépotoir à ciel ouvert.

Les nouveaux quartiers d’El Jadida

manquent d’organisation et d’infrastructures

Écrit par : Elmostafa Lekhiar et Hadj Abdelmajid Nejdi

El Jadida construit, tant mieux pour ceux qui cherchent un logement.

A-t-on  prévu la sécurité de ces nouveaux quartiers (Hay Al Matar - Hay Salam, Nejd, Saada 1, Saada 2 et 3, Najmat Al Janoub …). La population qui vit dans ces lotissements est estimée à peu près entre 40 000 et 60 000 âmes. Ces nouveaux lotissements grandissent dans la périphérie et inquiètent beaucoup les pauvres citoyens.

Ces lotissements manquent aussi d’infrastructure de base : postes de police, dispensaires, postes, collèges, espace verts, etc…

Le Deauville Marocain, El Jadida :

La ville abandonnée

Écrit par : Hadj Abdelmajid Nejdi et Elmostafa Lekhiar

De mémoire de Jdidis, jamais El Jadida n’aura atteint un tel niveau de clochardisation et de dégradation du cadre de vie. Une sorte de fatalité s’abat depuis quelques années sur la ville à un tel point que les années passent et se ressemblent hideusement dans une “ville-dépotoir” qui croupit sous les saletés et les immondices en tous genres et s’arcboute sous le poids des vices, de la délinquance, de l’insécurité, de l’anarchie et de l’insalubrité.

Halte au massacre des arbres d’alignement

Écrit par : Elmostafa Lekhiar et Hadj Abdelmajid Nejdi

Les Azemmouris sont choqués devant cet acte barbare par lequel on s’acharne rageusement sur les arbres de toutes espèces qui ont mis des années et des années à grandir et qu’on s’amuse maintenant au vu et au su d’une « Azemmour » indignée à massacrer sauvagement à coup de tronçonneuse.