Ils squattent les trottoirs, les chaussées, le centre-ville… dans une pagaille indescriptible ou ce qui s’en apparente à une démission totale et absolue, des différentes composantes « concernées », de cette ville.
Eux, ce sont tous ces commerçants, qui ne semblent avoir de respect, ni pour les institutions, ni encore moins pour les lois en vigueur.
Pire, certains parmi eux, prétendent qu’une majorité de ceux, censés veiller à l’application des lois, reçoivent régulièrement une « dîme » de leur part, pour fermer les yeux et laisser faire.
C‘est toute une chaine de fonctionnaires qui semblent profiter ainsi, de « l’aubaine » et qui a pour seule et unique mission, de fermer les yeux et laisser-faire.
La dernière trouvaille, pour ne pas parler de méprise, est l’œuvre de ce boucher sis au quartier de Sidi Moussa.
Ce dernier dont le commerce a « pignon sur rue », n’a pas trouver mieux que d’occulter le nom de cette rue, faisant fi de toutes les lois et les convenances en vigueur.
Ni le Mokkadem, ni tout autre agent de l’autorité « ne semble avoir remarqué » cet outrage à la conscience de chaque citoyen marocain.
Où va-t-on de la sorte, et où va ce pays dit « de droit » ?