Bien que des efforts louables ont été fournis pour donner un meilleur look à cette bourgade, différent de l’aspect moyenâgeux qu’on lui a connue jusqu’à maintenant, des lacunes et non des moindres subsistent encore.
Chaque automobiliste en visite dans les lieux, est infailliblement confronté au manque de places réservées aux stationnements et donc à l’inexistence du moindre aménagement de parkings.
Les bords des trottoirs, sont soit occupés par les voitures des estivants (en majorité ceux des tentes caïdales), soit « réservés-squattés », à l’aide de gros pierres, pour des automobilistes « fantômes ».Même certains commerçant semblent s’être pris à ce p’tit jeu, pour qu’on n’ « occulte » point leurs business.
Résultat, des visiteurs-automobilistes qui n’arrivent pas à trouver où stationner, et qui se « retrouvent », comme par magie (noire), orientés, une fois arrivé au niveau du dernier rond-point, vers le chemin du retour.
Du coup, si le visiteur est frustré, le commerce s’en ressent aussi : cafetiers, bouchers, restaurateurs… s’en plaignent, puisque nombreux d’entre eux, sont incapables d’ entrer dans leurs frais.
« On peut comprendre » que la mafia de l’immobilier ait dénaturé la majorité des plans d’aménagement de nos villes, au point qu’une majorité, aujourd’hui, souffre de l’inexistence totale, voire partielle, d’un aménagement des parkings. Mais qu’une bourgade, naguère, à l’aspect, hideux, moyenâgeux et dont tout semble manqué, à part les terrains vague, s’y prenne aussi à ce « jeu » digne de la Cosanostra napolitaine, c’est à ne plus rien comprendre.
Un parking à l’entrée, un autre en face du stade et un dernier, à côté du souk hebdomadaire, rendraient un précieux service aux automobilistes et constitueraient le reste du temps, d’excellents terrains de proximité pour la pratique du sport et toute autre pratique sportive, culturelle…à moins que…